Tu es sortie de la douche, encore mouillée
Tu es venue me rejoindre près de la cheminée
Les flammes faisaient briller les gouttes d’eau
Comme milles diamants, recouvrant ta peau
Tes yeux s’embrasaient de désir
Chaque fibre de ton corps explosait de plaisir
Tu t’es mis à genoux, tout d’abord
Ta bouche ardente enflamma mon corps
Puis nous nous sommes allongés
A même le sol, je t’ai embrassé
En premier les lèvres, puis le corps
Léchant la pointe de tes seins d’abords
Tu m’empêchas de descendre plus bas
En me soulevant la tête du bout des doigts
Tu me mis exactement là ou tu le voulais
Et j’ai tout se suite su ce que tu voulais
Ma bouche remonta d’abord le long de tes cuisses
Ma langue s’insinuant dans les profondeurs de ton corps
Tu tressautas sur le sol jusqu’à ce que tu jouisses
Tu te mis à crier comme si tu subissais un supplice
Nos corps se sont emmêles ne faisant plus qu’un
Et cela continua jusqu'au matin
Mais tu n’en avais jamais assez
Tu n’avais pas fini de vouloir aimer
Tu voulais aujourd’hui et pas demain
Que j’explore ton entrée défendue
Qui se trouve au creux de tes reins
J’y pénétrai sans retenue
Alors tu te mis à crier de plaisir
Tu aimais la douleur que tu ressentais
Tu avais changé aujourd’hui et à jamais
En découvrant ce qu’était vraiment jouir
mardi 31 mars 2009
samedi 28 mars 2009
Testament
Ce que j’écris maintenant, en ce moment, ça pourrait être mon testament
Je repense à ma vie qui ce finie, qui s’étiole au fil des secondes maintenant
Tout cela est passé si vite, top vite, je n’ais pas vu passé tous ces ans
Je ne puis revenir en arrière, je ne peux que regretter tout ce temps
Ma vie n’a pas été exemplaire, mais que puis je y faire dorénavant
Il ne me reste plus qu’a profiter de ce qui me reste pleinement
Mon corps est devenu si fragile qu’il se briserait comme un cure-dent
Mes erreurs ont été nombreuses, beaucoup trop, sûrement
Des épreuves se sont accumulées, pour me défier certainement
J’ai toujours fait front aux problèmes, et même à tous ces serpents
Qui m’ont mené la vie dure jusqu’à même ce montrer violent
Mais toujours, j’ai décidé devant eux de rester charmant
Je subirais le jugement dernier, cela face à face, sans paravent
Quand je serais devant notre créateur, s’il existe, je le ferais fièrement
Je suis sur qu’il acceptera de m’accueillir, si je lui demande poliment
Je repense à ma vie qui ce finie, qui s’étiole au fil des secondes maintenant
Tout cela est passé si vite, top vite, je n’ais pas vu passé tous ces ans
Je ne puis revenir en arrière, je ne peux que regretter tout ce temps
Ma vie n’a pas été exemplaire, mais que puis je y faire dorénavant
Il ne me reste plus qu’a profiter de ce qui me reste pleinement
Mon corps est devenu si fragile qu’il se briserait comme un cure-dent
Mes erreurs ont été nombreuses, beaucoup trop, sûrement
Des épreuves se sont accumulées, pour me défier certainement
J’ai toujours fait front aux problèmes, et même à tous ces serpents
Qui m’ont mené la vie dure jusqu’à même ce montrer violent
Mais toujours, j’ai décidé devant eux de rester charmant
Je subirais le jugement dernier, cela face à face, sans paravent
Quand je serais devant notre créateur, s’il existe, je le ferais fièrement
Je suis sur qu’il acceptera de m’accueillir, si je lui demande poliment
mercredi 25 mars 2009
Ma Quête
Que ce chemin est vraiment long
Mais j’irais jusqu’au bout de celui-ci
Car je sais que pour moi cela est bon
Et que je n’ais pas près d’avoir fini
C’est le chemin de ma quête
Vous trouverez peut-être cela bête
Mais je refuse de continuer à survivre
Des aujourd’hui j’ai décidé de vivre
J’en ai assez de griller tel un fusible
Dans ce monde ou parait-il tout est possible
Un président élu a crié Yes we can en Amérique
Et cela dans une période qui devient critique
Alors j’ai décidé de changer, de me bouger
Car ma vie aujourd’hui doit changer
Celle que j’ai depuis longtemps doit finir
Je dois arrêter de me punir
Dès demain, je serais un homme nouveau
Mais j’espère ne pas en faire trop
Ceux qui me connaissent trouveront cela chouette
Car je décide que dès ce jour commence ma quête.
Mais j’irais jusqu’au bout de celui-ci
Car je sais que pour moi cela est bon
Et que je n’ais pas près d’avoir fini
C’est le chemin de ma quête
Vous trouverez peut-être cela bête
Mais je refuse de continuer à survivre
Des aujourd’hui j’ai décidé de vivre
J’en ai assez de griller tel un fusible
Dans ce monde ou parait-il tout est possible
Un président élu a crié Yes we can en Amérique
Et cela dans une période qui devient critique
Alors j’ai décidé de changer, de me bouger
Car ma vie aujourd’hui doit changer
Celle que j’ai depuis longtemps doit finir
Je dois arrêter de me punir
Dès demain, je serais un homme nouveau
Mais j’espère ne pas en faire trop
Ceux qui me connaissent trouveront cela chouette
Car je décide que dès ce jour commence ma quête.
dimanche 22 mars 2009
Misère
On ne dit qu’on ne peut rien faire contre la misère
Une misère qui grandit de plus en plus vite
Vite, tel est le mot qu’il est important de connaître
De connaître qu’une famine décime des milliers d’être humains
Humains, c’est ce qu’ils sont, mais sont traités comme des bêtes
Des bêtes qui meurent aussi de la faim et de la sécheresse
Une sécheresse qui devient mondial et qui inquiète nos chercheurs
Les chercheurs, à qui l’on coupe les moyens de faire leur travail
Leur travail qui est essentiel et qui est notre seul salut
Un salut en passant à nos politiciens qui se moquent de nous
Nous qui sommes les électeurs qui élisent ces incompétents
Des incompétents qui se sentent proche des citoyens
Des citoyens vite oubliés dès qu’ils deviennent inutiles
Inutiles, tel est le mot aujourd’hui pour l’espoir
L’espoir de ne plus voir des peuples affamés et mourant
Mourant, telle est le destin de notre civilisation
Notre civilisation qui laisse dépérir des êtres vivants
Des êtres vivants qui se trouvent également en France
La France, pays de l’égalité, de la Fraternité et de la liberté
La liberté de s’exprimer par tous les moyens possibles
Possible que cela ne dure plus longtemps maintenant
Maintenant que les droits sont bafoués et ignorer
Ignorer que le peuple gronde, telle est leur faute
Faute de pouvoir parler, se dresseront les armes
Les armes qui s’énervent et qui crachent leurs paroles
Leurs paroles de mort, qui entraîne la misère
Une misère qui grandit de plus en plus vite
Vite, tel est le mot qu’il est important de connaître
De connaître qu’une famine décime des milliers d’être humains
Humains, c’est ce qu’ils sont, mais sont traités comme des bêtes
Des bêtes qui meurent aussi de la faim et de la sécheresse
Une sécheresse qui devient mondial et qui inquiète nos chercheurs
Les chercheurs, à qui l’on coupe les moyens de faire leur travail
Leur travail qui est essentiel et qui est notre seul salut
Un salut en passant à nos politiciens qui se moquent de nous
Nous qui sommes les électeurs qui élisent ces incompétents
Des incompétents qui se sentent proche des citoyens
Des citoyens vite oubliés dès qu’ils deviennent inutiles
Inutiles, tel est le mot aujourd’hui pour l’espoir
L’espoir de ne plus voir des peuples affamés et mourant
Mourant, telle est le destin de notre civilisation
Notre civilisation qui laisse dépérir des êtres vivants
Des êtres vivants qui se trouvent également en France
La France, pays de l’égalité, de la Fraternité et de la liberté
La liberté de s’exprimer par tous les moyens possibles
Possible que cela ne dure plus longtemps maintenant
Maintenant que les droits sont bafoués et ignorer
Ignorer que le peuple gronde, telle est leur faute
Faute de pouvoir parler, se dresseront les armes
Les armes qui s’énervent et qui crachent leurs paroles
Leurs paroles de mort, qui entraîne la misère
vendredi 20 mars 2009
Ma vie
Toute ma vie, j’ai rêvé de vivre
Mais je n’ais fait que survivre
Toute ma vie, j’ai rêvé d’être riche
Mais je ne suis qu’un terrain en friche
Toute ma vie, j’ai rêvé d’être heureux
Mais je ne suis qu’un malheureux
Toute ma vie, j’ai rêve d’avoir une grande maison,
Mais je dois savoir que tout est illusion
On nous dit qu’en France, nous avons tous les mêmes droits
Mais je viens à en douter parfois
On nous dit que la France est le pays des libertés
Dites ça, à tous ceux qui sont emprisonnés
On nous dit que la France est le pays des égalités
Mais c’est surtout celui des disparités
On nous dit que la France est le pays de la fraternité
Dites ça à ceux qui n’ont rien fait et se font tuer
Dans ce monde on est seul face à soi-même
Dans l’autre, nous sommes tous réunis
Dans ce monde on est seul face à sa peine
Dans l’autre, tout le monde nous sourie
Dans ce monde on ne voit que de la pitié
Dans l’autre, il n’y a rien d’autres que de l’amitié
Dans ce monde on attend que le glas sonne
Dans l’autre, il n’y a que les rires qui résonnent
Mais je n’ais fait que survivre
Toute ma vie, j’ai rêvé d’être riche
Mais je ne suis qu’un terrain en friche
Toute ma vie, j’ai rêvé d’être heureux
Mais je ne suis qu’un malheureux
Toute ma vie, j’ai rêve d’avoir une grande maison,
Mais je dois savoir que tout est illusion
On nous dit qu’en France, nous avons tous les mêmes droits
Mais je viens à en douter parfois
On nous dit que la France est le pays des libertés
Dites ça, à tous ceux qui sont emprisonnés
On nous dit que la France est le pays des égalités
Mais c’est surtout celui des disparités
On nous dit que la France est le pays de la fraternité
Dites ça à ceux qui n’ont rien fait et se font tuer
Dans ce monde on est seul face à soi-même
Dans l’autre, nous sommes tous réunis
Dans ce monde on est seul face à sa peine
Dans l’autre, tout le monde nous sourie
Dans ce monde on ne voit que de la pitié
Dans l’autre, il n’y a rien d’autres que de l’amitié
Dans ce monde on attend que le glas sonne
Dans l’autre, il n’y a que les rires qui résonnent
samedi 14 mars 2009
Un vieux rêve
Depuis toujours, je fais un rêve
Un rêve qui ne peut exister
Exister ou tout le monde vivrait en amitié
Une amitié ou les blancs, les noirs, les jaunes vivraient en paix
Ou la paix ne serait pas un vain mot que l’on signe d’un trait
Un trait qui peut séparer deux pays l’un de l’autre
Et ou l’autre ne pense qu’à faire la guerre à son voisin
Un voisin, qui lui, refuse de vivre dans l’angoisse
Dans l’angoisse de voir les siens mourir
Mourir sous les bombes de son vieil ennemi
Son vieil ennemi qui a d’autres rêves pour lui
Lui qui refuse de capituler sous la pression
Une pression qui ne fait que s’accentuer
Accentuer un ras le bol déjà présent
Un présent qui se mêle au futur
Un futur qui est déjà écrit
Un écrit que l’on ne peut modifier
Modifier un avenir impossible
Impossible, telle est la paix dans le monde
Un monde ou il ne reste qu’un espoir
L’espoir de pouvoir changer les gens
Les gens qui n’ont plus qu’un choix
Le choix qu’ils ont est de vivre ou de mourir
De vivre ou de mourir pour leurs rêves
Un rêve qui ne peut exister
Exister ou tout le monde vivrait en amitié
Une amitié ou les blancs, les noirs, les jaunes vivraient en paix
Ou la paix ne serait pas un vain mot que l’on signe d’un trait
Un trait qui peut séparer deux pays l’un de l’autre
Et ou l’autre ne pense qu’à faire la guerre à son voisin
Un voisin, qui lui, refuse de vivre dans l’angoisse
Dans l’angoisse de voir les siens mourir
Mourir sous les bombes de son vieil ennemi
Son vieil ennemi qui a d’autres rêves pour lui
Lui qui refuse de capituler sous la pression
Une pression qui ne fait que s’accentuer
Accentuer un ras le bol déjà présent
Un présent qui se mêle au futur
Un futur qui est déjà écrit
Un écrit que l’on ne peut modifier
Modifier un avenir impossible
Impossible, telle est la paix dans le monde
Un monde ou il ne reste qu’un espoir
L’espoir de pouvoir changer les gens
Les gens qui n’ont plus qu’un choix
Le choix qu’ils ont est de vivre ou de mourir
De vivre ou de mourir pour leurs rêves
jeudi 12 mars 2009
Rencontre
Notre histoire avait débuté comme dans un film
Tout avait commencé lorsque nos regards se sont croisés
A cet instant j’ai cru que mon cœur allait chavirer
J’ai su immédiatement que tu étais l’ultime
Je ne t’avais auparavant jamais vue
Mais c’est comme si je t’avais toujours connu
Tu m’adressas un simple sourire
En le voyant, je crus mourir
Tu es devenu le soleil de mes nuits
Et l’étoile qui brille dans le jour
Tu deviens la lumière de ma vie
Notre amour vivra pour toujours
Tes yeux reflètent la chaleur de ton cœur
Ton visage est semblable à celui d’un ange
Si ton coté démon me fait peur
Dans mes bras tu ressembles à une mésange
Lorsque nos corps s’étreints de désir
Notre amour devient une nova
Nous nous abandonnons alors au plaisir
La femme de ma vie, c’est toi
Tout avait commencé lorsque nos regards se sont croisés
A cet instant j’ai cru que mon cœur allait chavirer
J’ai su immédiatement que tu étais l’ultime
Je ne t’avais auparavant jamais vue
Mais c’est comme si je t’avais toujours connu
Tu m’adressas un simple sourire
En le voyant, je crus mourir
Tu es devenu le soleil de mes nuits
Et l’étoile qui brille dans le jour
Tu deviens la lumière de ma vie
Notre amour vivra pour toujours
Tes yeux reflètent la chaleur de ton cœur
Ton visage est semblable à celui d’un ange
Si ton coté démon me fait peur
Dans mes bras tu ressembles à une mésange
Lorsque nos corps s’étreints de désir
Notre amour devient une nova
Nous nous abandonnons alors au plaisir
La femme de ma vie, c’est toi
mardi 10 mars 2009
Toi
La première fois que je t’ais vue
Tu marchais tranquillement sous la pluie
Tout de suite tu m’as plu
Et j’ai pensé à toi toute la nuit
Alors le lendemain matin
Quand j’ai croisé ton regard
J’ai compris qu’il n’était pas trop tard
Lorsque j’ai vu ton air mutin
Je t’ais suivi sans rien dire
Tu m’as adressé un sourire
C’était la fin de la matinée
Lorsque je t’ais abordé
Nous avons passé le reste de la journée
A sourire et à nous embrasser
Je voulais t’emmener chez moi
Mais tu m’as fait un autre choix
Celui de passer une nuit d’amour
Et de nous quitter à jamais
Ou d’attendre d’être marié
Et de s’aimer pour toujours
Je n’ais pas fait le bon choix
Plus jamais je vis son regard
Il est maintenant trop tard
Je le regrette parfois
Mais si c’était à refaire
Je recommencerais, c’est sur
Ça ne serait pas pour me déplaire
Car c’est dans ma nature
Tu marchais tranquillement sous la pluie
Tout de suite tu m’as plu
Et j’ai pensé à toi toute la nuit
Alors le lendemain matin
Quand j’ai croisé ton regard
J’ai compris qu’il n’était pas trop tard
Lorsque j’ai vu ton air mutin
Je t’ais suivi sans rien dire
Tu m’as adressé un sourire
C’était la fin de la matinée
Lorsque je t’ais abordé
Nous avons passé le reste de la journée
A sourire et à nous embrasser
Je voulais t’emmener chez moi
Mais tu m’as fait un autre choix
Celui de passer une nuit d’amour
Et de nous quitter à jamais
Ou d’attendre d’être marié
Et de s’aimer pour toujours
Je n’ais pas fait le bon choix
Plus jamais je vis son regard
Il est maintenant trop tard
Je le regrette parfois
Mais si c’était à refaire
Je recommencerais, c’est sur
Ça ne serait pas pour me déplaire
Car c’est dans ma nature
dimanche 8 mars 2009
Femme
Aujourd’hui, journée de la femme
Celle pour qui notre cœur s’enflamme
Je vous dédie cette petite prose
Vous qui ressemblez à des roses
Même si parfois vous avez des épines
Et que quelque fois cela nous chagrines
Mais quand nous serons enfin réunis
Nous espérons que ce sera pour la vie
Lorsque cela parfois ne dure qu’un soir
Ce n’est pas cela qui nous fait peur
Et nous ne perdons pas l’unique espoir
D’enfin trouver notre âme sœur
Et puis lorsqu’un heureux matin
Nous ne ferons désormais plus qu’un
Ton nouveau nom à partir de ce beau jour
Changera pour devenir celui d’amour
Celle pour qui notre cœur s’enflamme
Je vous dédie cette petite prose
Vous qui ressemblez à des roses
Même si parfois vous avez des épines
Et que quelque fois cela nous chagrines
Mais quand nous serons enfin réunis
Nous espérons que ce sera pour la vie
Lorsque cela parfois ne dure qu’un soir
Ce n’est pas cela qui nous fait peur
Et nous ne perdons pas l’unique espoir
D’enfin trouver notre âme sœur
Et puis lorsqu’un heureux matin
Nous ne ferons désormais plus qu’un
Ton nouveau nom à partir de ce beau jour
Changera pour devenir celui d’amour
vendredi 6 mars 2009
Un rendez-vous immanquable
C’est aujourd’hui que tu viens me chercher
Je le savais, je t’attendais
Tu croyais pouvoir me surprendre
Mais tu vois, j’étais là à t’attendre
Tu me tends la main, en souriant
Je n’ais pas d’autre choix dorénavant
Je te regarde dans les yeux
Ils sont rouge, couleur de feu
Tu me dis qu’il est temps de partir
Je te rends ton sourire
Tu m’enlaces tendrement
Je suis en paix maintenant
Nous partons tous les deux
Peut-être en direction des cieux
A moins que tu ne sois l’émissaire
Du gardien des enfers
Mais ce que je sais maintenant
Et cela pour la nuit des temps
J’avais peur de toi et j’avais tort
Toi que l’on nomme la mort
Je le savais, je t’attendais
Tu croyais pouvoir me surprendre
Mais tu vois, j’étais là à t’attendre
Tu me tends la main, en souriant
Je n’ais pas d’autre choix dorénavant
Je te regarde dans les yeux
Ils sont rouge, couleur de feu
Tu me dis qu’il est temps de partir
Je te rends ton sourire
Tu m’enlaces tendrement
Je suis en paix maintenant
Nous partons tous les deux
Peut-être en direction des cieux
A moins que tu ne sois l’émissaire
Du gardien des enfers
Mais ce que je sais maintenant
Et cela pour la nuit des temps
J’avais peur de toi et j’avais tort
Toi que l’on nomme la mort
jeudi 5 mars 2009
L'inconnue
Ma main brûlante sur ton visage
Évapore tes larmes d’un simple passage
Alors monte en toi avec croissance
L’explosion d’un reflux de jouissance
Puis quand tu la sens glisser
Le long de ta peau salée
Alors ma main puissante
Devient soudain caressante
Ensuite descendant le long de ton ventre
Tu sais qu’elle se dirige vers ton antre
Lorsqu’elle y arrive, tu crois mourir
Alors seulement tu découvres le plaisir
Puis une fois que tu as connu l’extase
Tu me quittes sans dire une phrase
Même ton nom, jamais je ne le su
Tu ne restas pour moi qu’une belle inconnue
Évapore tes larmes d’un simple passage
Alors monte en toi avec croissance
L’explosion d’un reflux de jouissance
Puis quand tu la sens glisser
Le long de ta peau salée
Alors ma main puissante
Devient soudain caressante
Ensuite descendant le long de ton ventre
Tu sais qu’elle se dirige vers ton antre
Lorsqu’elle y arrive, tu crois mourir
Alors seulement tu découvres le plaisir
Puis une fois que tu as connu l’extase
Tu me quittes sans dire une phrase
Même ton nom, jamais je ne le su
Tu ne restas pour moi qu’une belle inconnue
mercredi 4 mars 2009
Adieu mon amie
Salut a toi qui es partie
Tu me laisses seul maintenant
Tu étais la dernière de mes amies
Je vais devoir faire avec dorénavant
Nous étions cinq, unis comme les doigts de la main
Mais le temps est passé très vite
Et je vois que demain
Je serais le dernier de la liste
Annie tu fus la première à nous quitter
Tout ça par la faute d'un gars bourré
Puis ce fut Michèle qui m'était la plus chère
Mais il l'a eut, ce salaud de cancer
Ensuite ce fut Marc, il l'a suivie très vite
Il conduisait beaucoup trop vite
Et maintenant toi, Johanna
Et j'en suis resté pantois
Sur l'échiquier de la vie
Tu as perdu cette partie
Tu me laisses seul maintenant
Tu étais la dernière de mes amies
Je vais devoir faire avec dorénavant
Nous étions cinq, unis comme les doigts de la main
Mais le temps est passé très vite
Et je vois que demain
Je serais le dernier de la liste
Annie tu fus la première à nous quitter
Tout ça par la faute d'un gars bourré
Puis ce fut Michèle qui m'était la plus chère
Mais il l'a eut, ce salaud de cancer
Ensuite ce fut Marc, il l'a suivie très vite
Il conduisait beaucoup trop vite
Et maintenant toi, Johanna
Et j'en suis resté pantois
Sur l'échiquier de la vie
Tu as perdu cette partie
Destination finale
Tu avais décidé de ne plus vivre comme ça
Tu avais décidé de partir quand tu le déciderais
Tu avais décidé de n’en parler à personne
Tu avais décidé que ce serait un dimanche
Lorsque l’on t’a retrouvé tu l’avais fait
Lorsqu’on t’a retrouvé tu étais en paix
Lorsqu’on t’a retrouvé tu souriais
Lorsqu’on t’a retrouvé on te savait enfin heureuse
Pour nous le monde a basculé
Pour nous tout à changé
Pour nous rien n’est arrivé
Pour nous tu seras toujours là
Ou que tu sois, sois heureuse
Ou que tu sois, vis enfin en paix
Ou que tu sois, tu l’as gagné
Ou que tu sois, tu resteras toujours dans nos cœurs
Tu avais décidé de partir quand tu le déciderais
Tu avais décidé de n’en parler à personne
Tu avais décidé que ce serait un dimanche
Lorsque l’on t’a retrouvé tu l’avais fait
Lorsqu’on t’a retrouvé tu étais en paix
Lorsqu’on t’a retrouvé tu souriais
Lorsqu’on t’a retrouvé on te savait enfin heureuse
Pour nous le monde a basculé
Pour nous tout à changé
Pour nous rien n’est arrivé
Pour nous tu seras toujours là
Ou que tu sois, sois heureuse
Ou que tu sois, vis enfin en paix
Ou que tu sois, tu l’as gagné
Ou que tu sois, tu resteras toujours dans nos cœurs
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