samedi 15 août 2009

Ma vieille amie


Lorsque je t’ai rencontrée, tu étais blessée
Je me suis approché de toi pour te soigner
Alors nos regards se sont croisés
Tu me semblais fatigué, même épuisés

Je t’ai soigné tendrement, pour ne pas te faire crier.
Je t’ai réchauffé, réconforté, tu as eu l’air d’apprécier
Je sentais les battements de son cœur s’accélérer
A chaque fois que mes mains te touchaient

Alors tout doucement, timidement, pudiquement
Tu as approché tes lèvres des miennes prudemment
Nous nous sommes alors enlacés tendrement
Cela passa très vite, mais cela nous paru très longtemps

Une fois que tu fus réconforté, tu t’es laissé aller
Longuement, toute la nuit nous avons parlé
D’un avenir incertain, qui n’étais pas programmé
C’est alors que tu m’as déclaré que tu ne pouvais m’aimer
Tout simplement par ce ton cœur maintenant
Était déjà occupé depuis longtemps
Alors je t’ais écouté simplement
Me raconter ta vie d’avant

Celle qui occupait toutes tes pensées
Allait bientôt venir de retrouver
Maintenant tout devait se terminer
Avec même que cela est commencé

Nous ne nous sommes plus jamais vus depuis
Mais tout espoir n’est pas perdu et puis
Même si cela n’arrivait jamais, dieu merci
Je sais que tu resteras une très vieille amie

1 commentaire:

  1. Mon archange,

    J'en avais les larmes aux yeux lorsuqe je t'ais lu. J'ai adoré ton pöeme.

    Etincelle

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