vendredi 4 septembre 2009

mercredi 19 août 2009

Un nouveau jour


Un nouveau jour se lève sur notre vie, notre misère que nous traînons depuis toujours
Un matin de plus se lève sur notre envie d’avoir une vie meilleure en ce beau jour
Pourvoir vivre nos rêves de liberté, de joie et d’amour que nous rêvions depuis hier
La lumière de nos cœurs est éteinte depuis trop longtemps et nous rends amère

Les ténèbres nous enserres telles des aigles nous étreignant de ses énormes serres
Nous sommes seuls dans ce monde surpeuplé qui désormais n'est plus celui de nos pères
Nous avons pour seul but de retrouver en chacun de nous ce qui nous donne l’espoir
Franchir de barrières insurmontables est désormais notre seul et unique devoir

Il est temps de nous unir pour faire front aux menaces qui nous attendent.
La lumière de notre vie nous éclaireras sur le long du chemin qu’ils prétendent
Montrons leur, à ces êtres, que nous pouvons transformer notre destin
Qu’ils aient enfin conscience que le jour n’est pas arrivé, celui de notre fin

Ce doit être un signe de reconnaissance, celui de notre nouvelle renaissance
Notre vie prend désormais un autre virage que nous prendrons avec aisance
Un nouveau jour se lève, celui qui sonne le glas de notre vie passée
Notre avenir est lancé et personne, non personne, n’aura la force de nous arrêter

Si vous voulez vous aussi vivre une nouvelle vie, alors n’hésitez pas à nous suivre
L’heure est venue ou chacun puisse profiter des joies et arrêter de survivre
Notre futur est incertain, mais il nous faut le tenter, nous n’avons plus le choix
Un nouveau jour est né, celui ou désormais la possibilité de vivre est un droit

samedi 15 août 2009

Ma vieille amie


Lorsque je t’ai rencontrée, tu étais blessée
Je me suis approché de toi pour te soigner
Alors nos regards se sont croisés
Tu me semblais fatigué, même épuisés

Je t’ai soigné tendrement, pour ne pas te faire crier.
Je t’ai réchauffé, réconforté, tu as eu l’air d’apprécier
Je sentais les battements de son cœur s’accélérer
A chaque fois que mes mains te touchaient

Alors tout doucement, timidement, pudiquement
Tu as approché tes lèvres des miennes prudemment
Nous nous sommes alors enlacés tendrement
Cela passa très vite, mais cela nous paru très longtemps

Une fois que tu fus réconforté, tu t’es laissé aller
Longuement, toute la nuit nous avons parlé
D’un avenir incertain, qui n’étais pas programmé
C’est alors que tu m’as déclaré que tu ne pouvais m’aimer
Tout simplement par ce ton cœur maintenant
Était déjà occupé depuis longtemps
Alors je t’ais écouté simplement
Me raconter ta vie d’avant

Celle qui occupait toutes tes pensées
Allait bientôt venir de retrouver
Maintenant tout devait se terminer
Avec même que cela est commencé

Nous ne nous sommes plus jamais vus depuis
Mais tout espoir n’est pas perdu et puis
Même si cela n’arrivait jamais, dieu merci
Je sais que tu resteras une très vieille amie

vendredi 7 août 2009

Toi et Moi


Alors que je te croyais partie pour toujours
Alors que je croyais avoir perdu mon amour
Alors que je pensais que tout était désormais fini
Alors que je pensais que ma vie se terminait aujourd’hui

Aujourd’hui je t’ai vu me revenir
Aujourd’hui est-ce pour toujours
Aujourd’hui ta fuite est finie
Aujourd’hui nous sommes de nouveau réunis

Demain nous finirons par nous unir
Demain nous ne ferons plu qu’un mon amour
Demain notre séparation sera pour toujours fini
Demain notre union sera pour l’infini

samedi 18 juillet 2009

L’Archange Déchu prend son envol.

L’Archange Déchu vous souhaite de bonnes vacances.


Je serais de retour dès le début Aout. A bientôt

mardi 14 juillet 2009

14 juillet

La Marseillaise fut écrite par Claude Joseph Rouget de Lisle, capitaine du Génie alors en poste à Strasbourg dans la nuit du 25 au 26 avril 1792 à la suite de la déclaration de guerre à l’Autriche.

La Marseillaise est déclarée chant national le 14 juillet 1795.

La Marseillaise n'était pas seulement l’hymne français. Comme chant révolutionnaire de la première heure, il a été repris et adopté par nombre de révolutionnaires sur tous les continents.

Voici les paroles de la version actuelle (un 7ème couplet d’un auteur inconnu).


Allons enfants de la Patrie

Le jour de gloire est arrivé !

Contre nous de la tyrannie

L'étendard sanglant est levé

Entendez-vous dans nos campagnes

Mugir ces féroces soldats?

Ils viennent jusque dans vos bras.

Égorger vos fils, vos compagnes!


Refrain


Aux armes citoyens

Formez vos bataillons

Marchons, marchons

Qu'un sang impur

Abreuve nos sillons


Que veut cette horde d'esclaves

De traîtres, de rois conjurés?

Pour qui ces ignobles entraves

Ces fers dès longtemps préparés?

Français, pour nous, ah! Quel outrage

Quels transports il doit exciter?

C'est nous qu'on ose méditer

De rendre à l'antique esclavage!


Refrain


Quoi ces cohortes étrangères!

Feraient la loi dans nos foyers!

Quoi! Ces phalanges mercenaires

Terrasseraient nos fils guerriers!

Grand Dieu! Par des mains enchaînées

Nos fronts sous le joug se ploieraient

De vils despotes deviendraient

Les maîtres des destinées.


Refrain


Tremblez, tyrans et vous perfides

L'opprobre de tous les partis

Tremblez! Vos projets parricides

Vont enfin recevoir leurs prix!

Tout est soldat pour vous combattre !

S'ils tombent, nos jeunes héros

La France en produit de nouveaux,

Contre vous tout prêts à se battre.


Refrain


Français, en guerriers magnanimes

Portez ou retenez vos coups!

Épargnez ces tristes victimes

À regret s'armant contre nous

Mais ces despotes sanguinaires

Mais ces complices de Bouillé

Tous ces tigres qui, sans pitié

Déchirent le sein de leur mère!


Refrain


Amour sacré de la Patrie

Conduis, soutiens nos bras vengeurs

Liberté, Liberté chérie

Combats avec tes défenseurs!

Sous nos drapeaux, que la victoire

Accoure à tes mâles accents

Que tes ennemis expirants

Voient ton triomphe et notre gloire!


Refrain


Couplet des enfants


Nous entrerons dans la carrière,

Quand nos aînés n'y seront plus ;

Nous y trouverons leur poussière

Et la trace de leurs vertus. (Bis)

Bien moins jaloux de leur survivre

Que de partager leur cercueil

Nous aurons le sublime orgueil

De les venger ou de les suivre.


Refrain


Enfants, que l'Honneur, la Patrie

Fassent l'objet de tous nos vœux !

Ayons toujours l'âme nourrie

Des feux qu'ils inspirent tous deux. (Bis)

Soyons unis ! Tout est possible ;

Nos vils ennemis tomberont,

Alors les Français cesseront

De chanter ce refrain terrible


Refrain

jeudi 9 juillet 2009

L’Heure



Il est l'heure désormais

Inutile de continuer à compter

Il est le temps à présent

De partir maintenant

Des amis resteront

Des ennemis médiront

Les anges désormais m’attendent

Un jour, peut être je pourrais redescendre

Comme une plume au vent

Mais pour l’instant il est temps

De partir vers mon nouveau chez moi

La vie se déroulera désormais sans moi.


mardi 30 juin 2009

Mon Amie

Tu as bien voulu me tendre la main
Le jour où je n’étais vraiment pas bien
De cette journée est née notre affection
Qui c’est vite transformé en passion
Mais de cette journée, il ne reste
Que des mots écrits d’une main leste

Mais lorsque tu m’avouas ta détresse
Alors je t’ai écouté, comme à confesse
J’ai écouté un à un, chacun de tes mots
Ces derniers rendent le monde plus beau
Maintenant tu sais vraiment pourquoi
Tu pourras toujours compter sur moi

Et aujourd’hui, tu reprends goût à la vie
Tu sais que ce n’est pas fini
Tu auras une épaule sur laquelle pleurer
Je serais toujours là pour te consoler
Tu n’es plus seul, tu as des amis
Que tu garderas toute ta vie

La première fois que je t’ai vu
J’ai compris que tu étais perdu
J’ai refusé de te laisser t’enfoncer
Et jamais, je ne le regretterais
Maintenant que tu suis ta voie
Tu sais que tu peux compter sur moi

mercredi 24 juin 2009

A Neda


Toi qui nous as quittés
Tu ne l’avais pas décidé
Tu es tombé sous les balles
Ce qui t’a été fatale

Tu es devenue une martyre
Face au régime d’un dictateur
Tu n’as désormais plus peur
Car tu as déjà connu le pire

Ton nom sera à jamais connue
Jusqu’à la fin des temps
Cela ne suffira pas pourtant
A renverser ce président incongru

Tu peux maintenant te reposer en paix
Vivre auprès des tiens qui t’attendaient
Personne ne pourra oublier ton sacrifice
Car tout le monde à vécu ton supplice

vendredi 19 juin 2009

Message de Fabiano

Appel national

Merci de rediffuser largement ce message.
Si vous ne faites pas déjà partie des 20 000 signataires - dont de très nombreuses personnalités (*) - signez et diffusez très largement l'appel pour un classement "sans suites" en faveur de Stéphane Lhomme, porte-parole du Réseau "Sortir du nucléaire", accusé de "terrorisme" et menacé de 5 ans de prison pour avoir révélé la vulnérabilité du réacteur nucléaire EPR en cas de crash d'avion de ligne.

SIGNEZ MAINTENANT EN CLIQUANT ICI :http://www.sortirdunucleaire.org/dossiers/Soutien-SLhomme.html(*)

Parmi les personnalités signataires :Yann Arthus-Bertrand (Photographe et cinéaste - Fondation GoodPlanet), Jean-Marc Delrieu (Retraité CEA - Chercheur Physicien), Corinne Lepage (CAP 21-Députée européenne-Ancienne ministre de l'environnement), Henri Texier (musicien et compositeur jazz), Géraud Guibert (Parti socialiste - porte-parole du pôle écologique), Noël Mamère (Député), Olivier Besancenot (NPA), Jean-Philippe Gasparotto (Secrétaire général de l'Union CGT du groupe Caisse des dépôts), José Bové (Député européen), Jacques Gaillot (Evèque de Partenia), Jean-Marie Harribey (co-président d'Attac), Cécile Duflot (Secrétaire nationale des Verts), Corinne Morel-Darleux (Parti de Gauche), Roland Desbordes (Président de la commission de recherche et d'information sur la radioactivité - CRIIRAD), Xavière Gauthier (chercheuse CNRS-écrivaine), Eugène Riguidel (navigateur), Daniel Mognard (Responsable syndical CFDT), Christophe Ondet (Secrétaire National du Parti Pour La Décroissance), Michel Verna (Membre du conseil national de Génération Ecologie), Gustave Massiah (Economiste), Christine Bobey-Gérard (Conseillère nationale du Mouvement Démocrate), Etienne Davodeau (Auteur de BD), Hervé Eon (Bureau National du Parti de Gauche), Gilles Lemaire (Attac - faucheur d'OGM), Bernard Laponche (Expert indépendant), Philippe Chesnau (Vice président du Conseil Régional provence Alpes Cote d'Azur), François Martz (Prêtre - Colmar), Alain Touleron (Les Alternatifs - Adjoint au Maire de Vaulx-en-Velin), Myriam Martin (Tête de liste NPA Européennes sud ouest), Georges Souriau (Prêtre ouvrier - Compagnon d'Emmaüs), Michael Lowy (Chercheur), Simon Charbonneau (Professeur de droit de l'environnement), Ferrario Roberto (Porte-parole de Bellaciao.org), Jacques Perreux (Vice Président du Conseil général du Val de marne), Philippe Augendre (Pasteur, président de la Commission d'Ethique France-Belgique-Suisse de l'Eglise adventiste), Daniel Mosmant (Adjoint à la maire - Montreuil), Laurence De Bouard (Membre du NPA - tête de liste Européennes liste OUEST), Eliane Leclercq (Union Démocratique Bretonne - Conseillère municipale UDB ville de Rennes), Erica Deuber Ziegler (Historienne de l'art, ancienne députée de Genève - Suisse), Dominique Camburet (Ligue de l'Enseignement de Haute Marne - Directeur), Michel Fabre (Alliance Ecologiste Indépendante-Maire), Dominique Malvaud (SUD Rail), Lucien Moullier (Parti Radical de Gauche - Maire - Conseiller général), François Veillerette (Président du MDRGF), Monique et Raymond Senée (GSIEN - chercheurs honoraires), Nicole Kiil-Nielsen (Députée européenne), Jacqueline Fraysse (Députée des Hauts de Seine), Bruno Charles (Vice président du Grand Lyon), Jean Desessard (Sénateur), Natalia Puente (Physicienne), Michele Rivasi (Députée europeenne), Benjamin Dessus (Président de Global Chance), Martine Billard (Députée de Paris), Yves Cochet (Député de Paris), Christian Velot (Enseignant- chercheur), Jean-Pierre Berlan (chercheur), André Cicolella (chercheur), Yannick Rousselet (Greenpeace - Chargé de campagne Energie), Jacques Muller (sénateur) ...

N'attendez pas pour signer et pour faire circuler largement ce message.Merci pour votre soutien !

Cordialement,L'équipe du Réseau "Sortir du nucléaire"http://sortirdunucleaire. org/

mercredi 17 juin 2009

Il est temps


Je ne verrais plus de matin
Le grand voyage est pour demain
Mon âme est désormais libre
Et moi, j’ai fini de vivre

Je ne verrai pas de lendemain
Car c’est sans doute mon destin
Personne ne m’empêchera de partir
Personne ne viendra me retenir

Cette fois, ça y est, je l’aperçois maintenant
Elle s’approche vers moi dorénavant
Elle tend sa main en m’adressant un sourire
Je suis rassuré, moi qui m’attendais au pire

Je suis maintenant au début de mon départ
Vers un nouveau monde quelque part
Je ne regretterais sans doute pas celui-ci
C’est mieux, maintenant que tout fini

vendredi 12 juin 2009

Les ailes de la mort


Alors qu’ils voyageaient heureux
Tu as tendu le bras vers les cieux
Tu les as attrapés en plein vol
Et je suis sur que tu en rigoles

Leurs vies ont été stoppées en un instant
Ils ne le souhaitaient pas pourtant
Tu les as balayés d’un coup de ta faux
Et au même instant se sont évacués tous leurs maux

Le diable et Dieu se sont partagé toutes les âmes
De tous ces malheureux ayant péri dans ce drame
Maintenant qu’importe ou ils se sont retrouvés
J’espère pour eux qu’ils sont désormais en paix

Tous ont été réunis par le même sort
C’est ce que tu as décidé, toi la mort
Tu es le seul à avoir le pourvoir de décider
Lorsque notre vie doit se terminer

samedi 6 juin 2009

Eux

Il y a déjà 65 ans que c’est arrivé
Vous avez été pour certains parachutés
Beaucoup d’entre vous sont morts
Et cela vous a demandé beaucoup d’effort

Nombre d’entre vous sont restés
Sur la plage ou vous aviez débarqué
Avec votre force, vous y êtes arrivé pourtant
Vous avez repoussé ces salauds d’allemands

Les combats ont été longs et douloureux
Les morts dans vos rangs ont été nombreux
Vous pouviez compter sur vos alliés maintenant
Anglais, Canadiens, Anglais et les résistants

Une fois l’ennemi vaincus et fuyant
Vous avez été accueilli en vainqueur
Vous nous avez soulagés de notre peur
Et pour longtemps certainement

Aujourd’hui c’est l’anniversaire du débarquement
Cela c’est passé il y a déjà soixante cinq ans
On espère que cela n’arrivera plus jamais
Mais il ne faudra jamais l’oublier

lundi 1 juin 2009

Sarkozy, c’est fini

Tu n’iras plus jamais
Ou l’on t’a dit je t'aime
Tu n’iras plus jamais
Je viens de le décider
Tu n’iras plus jamais
Ce soir c'est plus la peine
Tu n’iras plus jamais
Comme les autres années

Refrain
Sarkozy, c'est fini
Et dire que tu es le président
De mon très beau pays
Sarkozy, c'est fini
Je ne crois pas
Que t'y seras réélu un jour
Sarkozy, c'est fini
Et dire que tu es le président
De mon très beau pays
Sarkozy, c'est fini
Je ne crois pas
Que t’y seras réélu un jour

Tu n’iras plus jamais
Où l’on t’a dit je t'aime
Tu n’iras plus jamais
Comme les autres années
Parfois je voudrais bien
Que nous revotions
Mais je perds le courage
Sachant que tout es truqué

Refrain
Sarkozy, c'est fini
Et dire que tu es le président
De mon très beau pays
Sarkozy, c'est fini
Je ne crois pas
Que t’y seras réélu un jour
Sarkozy, c'est fini
Et dire que tu es le président
De mon très beau pays
Sarkozy, c'est fini
Je ne crois pas
Que t’y seras réélu un jour
Tu n’y seras plus jamais
Mais je me souviendrais

Du premier rendez-vous
Que tu nous a donné
Tu n’iras plus jamais
Comme les autres années
Tu n’iras plus jamais
Plus jamais, plus jamais

Refrain
Sarkozy, c'est fini
Et dire que tu es le président
De mon très beau pays
Sarkozy, c'est fini
Je ne crois pas
Que t’y seras réélu un jour

Sarkozy, c'est fini
Et dire que tu es le président
De mon très beau pays
Sarkozy, c'est fini
Je ne crois pas
Que t’y seras réélu un jour

Sarkozy, c'est fini
Et dire que tu es le président
De mon très beau pays
Sarkozy, c'est fini
Je ne crois pas
Que t’y seras réélu un jour

Sarkozy, c'est fini
Et dire que tu es le président
De mon très beau pays
Sarkozy, c'est fini
Je ne crois pas
Que t’y seras réélu un jour

Sarkozy fini, fini, fini

Libre interprétation de Capri c'est fini (Hervé Vilard)

mardi 26 mai 2009

Le déserteur de la République

Monsieur le président
Je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps
Je viens d’apprendre
Encore des licenciements
Et vous n’y faites pourtant
Rien, sauf que d’attendre
Monsieur le président
Il est temps de vous bouger
Et arrêter de vous agiter
Pour aider les pauvres gens
Ce n’est pas pour vous fâcher
Il faut que je vous dise
Qu’une décision doit être prise
Et qu’il est temps que vous la preniez

Depuis que je suis né
J’ai vu ce pays s’enfoncer
Le nombre de chômeurs augmenter
Et le pouvoir d’achat diminuer
Les pauvres ont déjà tant souffert
Qu’ils ne croient plus en rien
Et cela ne changera pas demain
Car la vie devient un vrai enfer
Rien n’est fait pour les chômeurs
Rien sauf vouloir les dévaloriser
Et cette époque fait vraiment peur
Ou l’on ne cherche qu’à nous diminuer
Demain comme tous les matins
Lorsque que je me lèverais
La première chose à laquelle je penserais
C’est à une chose positive, c’est certains

Je me remémorerai ma vie
Dans ce beau pays qu’est la France
Mais cela je suis sur que tu t’en balances
Car tu ne pense qu’à toi Sarkozy
Je ne t’en blâme même pas
Car tu ne marches que dans leurs pas
A tout ceux qui t’ont précéder
Et cela me donne envie de pleurer
Il est temps de finir maintenant
Car ce que je pourrais vous dire
Ne vous ferais que sans doute rire
Monsieur le président
Continuez à vivre dans votre fiction
Car les autres vous vous en moquez
Mais attention aux élections
Vous pourriez bien vous faire sanctionner

mardi 19 mai 2009

Aujourd'hui

Aujourd’hui, ils revendiquent le droit

Le droit de vivre avec un minimum

Un minimum de respect pour leur travail

Leur travail qui leur est supprimé

Supprimé des emplois alors qu’ils font des bénéfices

Des bénéfices qui ne sont pas perdus pour tout le monde

Le monde qui sombre dans la dépression

La dépression qui touche tous les pays

Les pays qui combattent le mal qui les rongent aussi

Aussi sur que deux et deux font quatre, il est là

Là ou tout le monde l’attend pour le combattre

Le combattre par des traitements et des vaccins

Des vaccins qui se font attendre avec impatience

L’impatience n’est pas le mot premier de l’OMS

L’OMS qui désire attendre encore pour donner l’ordre

Donner l’ordre pour la production d’un liquide précieux

Précieux comme la vie qui s’écoule des corps

Des corps touchés par ce terrible virus qui s’étend

Qui s’étend comme une toile d’araignée

Une araignée qui a décide de mordre le plus de gens

Des gens qui ne peuvent qu’attendre aujourd’hui

samedi 16 mai 2009

Elles

Lorsque tu pousses un cri
Tu exprimes ta jouissance
Comme une renaissance
Mais ce n’est pas fini

Ses mains parcourent ton corps
Tu gémis de plus en plus fort
Lorsque vos lèvres se rencontrent
Tu ne dis plus rien par contre

Sa langue rejoignant la tienne
Vous ressemblez à deux sirènes
S’entremêlant comme deux siamois
S’écartant pour respirez parfois

Lorsque sa bouche descend vers ton antre
Tu sens la chaleur croître dans ton ventre
Tu ne peux empêcher ton corps de s’étirer
Et il ne te reste plus cette fois qu’à crier

Un doigt s’insinuant dans ton corps
T’obligeant à crier encore plus fort
Laissant échapper de toi
Le reflet de ton émoi

Lorsque vos corps se relâchent et se détachent enfin
La levée de ce nouveau jour est déjà bien avancée
Vous recommencerez, c’est sur et certain
Pourquoi deux femmes ne pourraient elles pas s’aimer

dimanche 10 mai 2009

Regret eternel

Il y a maintenant deux ans que tu es partie
Comme ça sans rien dire, sans un cri
Pourtant je sais que tu as beaucoup souffert
Comme si tu brûlais dans les feux de l’enfer

Même les plus puissants sédatifs ne pouvaient te calmer
Mais tu n’as jamais versé une larme ni même pleurer
Tu savais que la fin de ta vie ne serait que souffrance
Mais jamais tu n’as renoncé, tu restais en silence

Maintenant ou que tu sois, tu dois être heureuse
Tu ne souffres plus, tu n’es plus anxieuse
Volante et virevoltante au milieu des anges et archanges
Ceux qui t’entourent, n’expriment que des louanges

Tu es en paix et je le reconnais maintenant
Plus que jamais je te serais reconnaissant
Tu m’as montré ce qu’était le vrai courage
Et tu me l’as fait partager sans partage

Jamais tu ne seras oubliée ou ignorée
Tu resteras pour toujours dans notre cœur
Il est trop tard maintenant, mais j’avais trop peur
Pour te déclarer que je t’ais toujours aimé

lundi 4 mai 2009

Demain

Un jour nouveau est sur le point de naitre

Naitre dans la douleur et dans le sang

Le sang versé par les opprimés du monde

Un monde ou tout fout le camp partout

Partout ou plaie d’argent est mortelle

Mortelle journée que celles que nous vivons

Vivons tant qu’il en est encore temps

Temps de pouvoir savourer chaque moment

Moment ou l’on apprend que la mort rode

Rode sans se soucier des frontières ou des océans

Océans qui pourraient rougir du sang des écartés

Écartés de la société et n’intéressant pas les savants

Les savants qui sont au service des riches et des puissants

Les puissants qui sont à l’abri de tous les maux

Les maux qui nous frappent de plus en plus fort

Fort nous devrons être pour survivre à ce mal

Ce mal inconnu que l’on ignore et que l’on craint

La crainte de ne pas voir le lendemain se lever

Se lever et commencer à vivre un jour nouveau

mardi 28 avril 2009

La fin du monde

La fin de monde est peut-être à nos portes
Nous ne pouvons qu’attendre la notre
Être éliminé par un virus inconnu mortel
N’a apparemment pas son pareil

Est-ce une création de la nature ou de l’homme
Jamais nous ne saurons la vérité en somme
Nous ne pouvons que subir ces mortels assauts
En priant pour que ce ne soit pas trop tôt

Une si grande peur d’une si petite bestiole
Et voilà maintenant notre vie qui s’étiole
Nous pouvons contrer cette hécatombe
C’est entre les mains des grands de ce monde

Eux qui n’ont rien à craindre de ce terrible fléau
Car ils ont déjà pris de quoi sauver leur peau
Et s’il en reste un peu après l’avoir donné aux prioritaires
Demain, nous ne serons peut-être pas six pieds sous terre

vendredi 24 avril 2009

Mon destin

Quand tu m’as prise dans tes bras
Un vent violent m’a glacé d’effroi
Tu m’as emporté vers mon destin
Celui qui attend chaque être humain

J’ai vu ceux que j’aimais et des amis
Mais aussi, mes pires ennemis
Tu m’as dit de ne pas m’inquiéter
Je ne les verrais pas là ou je devrais aller

J’ai accompagné des membres de ma famille
Vers une lumière qui me rendait docile
Un dernier coup d’œil derrière moi
Ce que je vis me fit rester pantois

Mes ennemis étaient escortés, enchaînés
Leurs geôliers, les fouettaient, les flagellaient
Ils descendaient dans les profondeurs des enfers
Alors que moi, j’étais invité à la droite du saint père

Il m’a dit qu’il était encore trop tôt pour moi
Pour pouvoir rester là et m’expliqua pourquoi
Je devrais attendre mon jour au purgatoire
C’est ce que je ferais sans perdre espoir

Jamais je ne te revis, toi, qui m’avais souri
Tu avais fait ton travail et tu n’avais pas tort
Car maintenant c’est moi qui te souri
Toi que l’on redoute et qu’on nomme la mort

lundi 20 avril 2009

La fin

Fini est le temps ou l’on vivait sans soucis

Des soucis qui augmentent tous les jours

Les jours qui nous paraissent de plus en plus long

Long comme les nuits d’hiver ou le froid mord

Mord dans la chair des oubliés de la société

La société qui se moque des Français pauvres

Pauvres de nous, simples mortels sans ressources

Ressources que possèdent les puissants de ce monde

Ce monde qui se détruit par lui-même sans espoir

Espoir que les gens perdent a fait que croit la misère

La misère qui nous attende à chaque coin de rue

La rue ou les gens meurent sans qu’on leur offre un regard

Un regard sur lequel nos politiciens ferment les yeux

Les yeux, la seule chose qu’il nous reste pour pleurer

Pleurer sur le fait que maintenant tout est fini

samedi 18 avril 2009

Liberté, Egalité, Fraternité

Liberté pour les innocents condamnés
Égalité pour les exclus et les oubliés
Fraternité pour les libérateurs tués

Liberté pour les hommes indécis
Égalité pour les peuples soumis
Fraternité pour les pays amis

Liberté pour les peuples opprimés
Égalité pour la peine des meurtriers
Fraternité pour les chômeurs jugés

Liberté pour les gens incompris
Égalité pour les moines meurtris
Fraternité pour ceux que j’oublie

mercredi 15 avril 2009

Hommage à Maurice Druon

En souvenir de cet immortel, les paroles du Chant des Partisans.

Ami, entends-tu
Le vol noir des corbeaux
Sur nos plaines?
Ami, entends-tu
Les cris sourds du pays
Qu'on enchaîne?
Ohé! partisans,
Ouvriers et paysans,
C'est l'alarme!
Ce soir l'ennemi
Connaîtra le prix du sang
Et des larmes!

Montez de la mine,
Descendez des collines,
Camarades!
Sortez de la paille
Les fusils, la mitraille,
Les grenades...
Ohé! les tueurs,
A la balle et au couteau,
Tuez vite!
Ohé! saboteur,
Attention à ton fardeau:
Dynamite!

C'est nous qui brisons
Les barreaux des prisons
Pour nos frères,
La haine à nos trousses
Et la faim qui nous pousse,
La misère...
Il y a des pays
Ou les gens au creux de lits
Font des rêves;
Ici, nous, vois-tu,
Nous on marche et nous on tue,
Nous on crève.

Ici chacun sait
Ce qu'il veut, ce qu'il fait
Quand il passe...
Ami, si tu tombes
Un ami sort de l'ombre
A ta place.
Demain du sang noir
Séchera au grand soleil
Sur les routes.
Sifflez, compagnons,
Dans la nuit la Liberté
Nous écoute...

lundi 13 avril 2009

Je pense

Je pense parfois ou tu m’emmèneras
Je pense parfois ou tout cela finira
Je pense parfois ou tout recommenceras
Je pense parfois ou tout cela me mènera

Je pense toujours au moment de partir
Je pense toujours à la façon de mourir
Je pense toujours à la mort des martyrs
Je pense toujours comment cela va finir

Je ne pense jamais ou je finirais
Je ne pense jamais quand je partirai
Je ne pense jamais comment y aller
Je ne pense jamais quand j’y serais

Je pense maintenant que je n’avais pas tort
Je pense maintenant que je ne suis pas le plus fort
Je pense maintenant que tu deviendras mon mentor
Je pense maintenant à toi … la mort

samedi 4 avril 2009

Obama était là

Un grand de ce monde est venu à Strasbourg
Pas pour longtemps car il était à la bourre
Tout le monde attendait son fameux Yes we can
Mais pour réponse, il n’a lancé que quelques vannes

Mais ce qui est sur, c’est qu’il fut vraiment étonné
Par l’accueil que lui avaient réservé les Français
D’abord à l’aéroport, un tapis d’un rouge ardent
Mais pour son arrivée, Nicolas était absent

Lorsqu’il arriva dans la foule qui l’attendait avec passion
Beaucoup de femmes voulaient pouvoir l’embrasser
Lorsqu’il vit cela, il eut d’abord une hésitation
Puis il accepta de s’approcher, un peu embarrassé

Il était loin des manifestants qui voulaient le huer
Mais ils furent écartés sans beaucoup de ménagement
Il faut comprendre ces mesures des autorités
Il suffirait d’un illuminé pour que ça finisse tragiquement.

Il affirma que rien ne pouvait ce faire sans l’Europe unie
Mais rappelle que rien ne se ferait sans l’Amérique
Après discours et réunion, ils sont tous repartis
Alors tout est fini plus de risque, plus de panique

mardi 31 mars 2009

Une découverte

Tu es sortie de la douche, encore mouillée
Tu es venue me rejoindre près de la cheminée
Les flammes faisaient briller les gouttes d’eau
Comme milles diamants, recouvrant ta peau

Tes yeux s’embrasaient de désir
Chaque fibre de ton corps explosait de plaisir
Tu t’es mis à genoux, tout d’abord
Ta bouche ardente enflamma mon corps

Puis nous nous sommes allongés
A même le sol, je t’ai embrassé
En premier les lèvres, puis le corps
Léchant la pointe de tes seins d’abords

Tu m’empêchas de descendre plus bas
En me soulevant la tête du bout des doigts
Tu me mis exactement là ou tu le voulais
Et j’ai tout se suite su ce que tu voulais

Ma bouche remonta d’abord le long de tes cuisses
Ma langue s’insinuant dans les profondeurs de ton corps
Tu tressautas sur le sol jusqu’à ce que tu jouisses
Tu te mis à crier comme si tu subissais un supplice

Nos corps se sont emmêles ne faisant plus qu’un
Et cela continua jusqu'au matin
Mais tu n’en avais jamais assez
Tu n’avais pas fini de vouloir aimer

Tu voulais aujourd’hui et pas demain
Que j’explore ton entrée défendue
Qui se trouve au creux de tes reins
J’y pénétrai sans retenue

Alors tu te mis à crier de plaisir
Tu aimais la douleur que tu ressentais
Tu avais changé aujourd’hui et à jamais
En découvrant ce qu’était vraiment jouir

samedi 28 mars 2009

Testament

Ce que j’écris maintenant, en ce moment, ça pourrait être mon testament

Je repense à ma vie qui ce finie, qui s’étiole au fil des secondes maintenant

Tout cela est passé si vite, top vite, je n’ais pas vu passé tous ces ans

Je ne puis revenir en arrière, je ne peux que regretter tout ce temps

Ma vie n’a pas été exemplaire, mais que puis je y faire dorénavant

Il ne me reste plus qu’a profiter de ce qui me reste pleinement

Mon corps est devenu si fragile qu’il se briserait comme un cure-dent

Mes erreurs ont été nombreuses, beaucoup trop, sûrement

Des épreuves se sont accumulées, pour me défier certainement

J’ai toujours fait front aux problèmes, et même à tous ces serpents

Qui m’ont mené la vie dure jusqu’à même ce montrer violent

Mais toujours, j’ai décidé devant eux de rester charmant

Je subirais le jugement dernier, cela face à face, sans paravent

Quand je serais devant notre créateur, s’il existe, je le ferais fièrement

Je suis sur qu’il acceptera de m’accueillir, si je lui demande poliment

mercredi 25 mars 2009

Ma Quête

Que ce chemin est vraiment long
Mais j’irais jusqu’au bout de celui-ci
Car je sais que pour moi cela est bon
Et que je n’ais pas près d’avoir fini

C’est le chemin de ma quête
Vous trouverez peut-être cela bête
Mais je refuse de continuer à survivre
Des aujourd’hui j’ai décidé de vivre

J’en ai assez de griller tel un fusible
Dans ce monde ou parait-il tout est possible
Un président élu a crié Yes we can en Amérique
Et cela dans une période qui devient critique

Alors j’ai décidé de changer, de me bouger
Car ma vie aujourd’hui doit changer
Celle que j’ai depuis longtemps doit finir
Je dois arrêter de me punir

Dès demain, je serais un homme nouveau
Mais j’espère ne pas en faire trop
Ceux qui me connaissent trouveront cela chouette
Car je décide que dès ce jour commence ma quête.

dimanche 22 mars 2009

Misère

On ne dit qu’on ne peut rien faire contre la misère

Une misère qui grandit de plus en plus vite

Vite, tel est le mot qu’il est important de connaître

De connaître qu’une famine décime des milliers d’être humains

Humains, c’est ce qu’ils sont, mais sont traités comme des bêtes

Des bêtes qui meurent aussi de la faim et de la sécheresse

Une sécheresse qui devient mondial et qui inquiète nos chercheurs

Les chercheurs, à qui l’on coupe les moyens de faire leur travail

Leur travail qui est essentiel et qui est notre seul salut

Un salut en passant à nos politiciens qui se moquent de nous

Nous qui sommes les électeurs qui élisent ces incompétents

Des incompétents qui se sentent proche des citoyens

Des citoyens vite oubliés dès qu’ils deviennent inutiles

Inutiles, tel est le mot aujourd’hui pour l’espoir

L’espoir de ne plus voir des peuples affamés et mourant

Mourant, telle est le destin de notre civilisation

Notre civilisation qui laisse dépérir des êtres vivants

Des êtres vivants qui se trouvent également en France

La France, pays de l’égalité, de la Fraternité et de la liberté

La liberté de s’exprimer par tous les moyens possibles

Possible que cela ne dure plus longtemps maintenant

Maintenant que les droits sont bafoués et ignorer

Ignorer que le peuple gronde, telle est leur faute

Faute de pouvoir parler, se dresseront les armes

Les armes qui s’énervent et qui crachent leurs paroles

Leurs paroles de mort, qui entraîne la misère

vendredi 20 mars 2009

Ma vie

Toute ma vie, j’ai rêvé de vivre
Mais je n’ais fait que survivre
Toute ma vie, j’ai rêvé d’être riche
Mais je ne suis qu’un terrain en friche
Toute ma vie, j’ai rêvé d’être heureux
Mais je ne suis qu’un malheureux
Toute ma vie, j’ai rêve d’avoir une grande maison,
Mais je dois savoir que tout est illusion

On nous dit qu’en France, nous avons tous les mêmes droits
Mais je viens à en douter parfois
On nous dit que la France est le pays des libertés
Dites ça, à tous ceux qui sont emprisonnés
On nous dit que la France est le pays des égalités
Mais c’est surtout celui des disparités
On nous dit que la France est le pays de la fraternité
Dites ça à ceux qui n’ont rien fait et se font tuer

Dans ce monde on est seul face à soi-même
Dans l’autre, nous sommes tous réunis
Dans ce monde on est seul face à sa peine
Dans l’autre, tout le monde nous sourie
Dans ce monde on ne voit que de la pitié
Dans l’autre, il n’y a rien d’autres que de l’amitié
Dans ce monde on attend que le glas sonne
Dans l’autre, il n’y a que les rires qui résonnent

samedi 14 mars 2009

Un vieux rêve

Depuis toujours, je fais un rêve

Un rêve qui ne peut exister

Exister ou tout le monde vivrait en amitié

Une amitié ou les blancs, les noirs, les jaunes vivraient en paix

Ou la paix ne serait pas un vain mot que l’on signe d’un trait

Un trait qui peut séparer deux pays l’un de l’autre

Et ou l’autre ne pense qu’à faire la guerre à son voisin

Un voisin, qui lui, refuse de vivre dans l’angoisse

Dans l’angoisse de voir les siens mourir

Mourir sous les bombes de son vieil ennemi

Son vieil ennemi qui a d’autres rêves pour lui

Lui qui refuse de capituler sous la pression

Une pression qui ne fait que s’accentuer

Accentuer un ras le bol déjà présent

Un présent qui se mêle au futur

Un futur qui est déjà écrit

Un écrit que l’on ne peut modifier

Modifier un avenir impossible

Impossible, telle est la paix dans le monde

Un monde ou il ne reste qu’un espoir

L’espoir de pouvoir changer les gens

Les gens qui n’ont plus qu’un choix

Le choix qu’ils ont est de vivre ou de mourir

De vivre ou de mourir pour leurs rêves

jeudi 12 mars 2009

Rencontre

Notre histoire avait débuté comme dans un film
Tout avait commencé lorsque nos regards se sont croisés
A cet instant j’ai cru que mon cœur allait chavirer
J’ai su immédiatement que tu étais l’ultime

Je ne t’avais auparavant jamais vue
Mais c’est comme si je t’avais toujours connu
Tu m’adressas un simple sourire
En le voyant, je crus mourir

Tu es devenu le soleil de mes nuits
Et l’étoile qui brille dans le jour
Tu deviens la lumière de ma vie
Notre amour vivra pour toujours

Tes yeux reflètent la chaleur de ton cœur
Ton visage est semblable à celui d’un ange
Si ton coté démon me fait peur
Dans mes bras tu ressembles à une mésange

Lorsque nos corps s’étreints de désir
Notre amour devient une nova
Nous nous abandonnons alors au plaisir
La femme de ma vie, c’est toi

mardi 10 mars 2009

Toi

La première fois que je t’ais vue
Tu marchais tranquillement sous la pluie
Tout de suite tu m’as plu
Et j’ai pensé à toi toute la nuit

Alors le lendemain matin
Quand j’ai croisé ton regard
J’ai compris qu’il n’était pas trop tard
Lorsque j’ai vu ton air mutin

Je t’ais suivi sans rien dire
Tu m’as adressé un sourire
C’était la fin de la matinée
Lorsque je t’ais abordé

Nous avons passé le reste de la journée
A sourire et à nous embrasser
Je voulais t’emmener chez moi
Mais tu m’as fait un autre choix

Celui de passer une nuit d’amour
Et de nous quitter à jamais
Ou d’attendre d’être marié
Et de s’aimer pour toujours

Je n’ais pas fait le bon choix
Plus jamais je vis son regard
Il est maintenant trop tard
Je le regrette parfois

Mais si c’était à refaire
Je recommencerais, c’est sur
Ça ne serait pas pour me déplaire
Car c’est dans ma nature

dimanche 8 mars 2009

Femme

Aujourd’hui, journée de la femme
Celle pour qui notre cœur s’enflamme
Je vous dédie cette petite prose
Vous qui ressemblez à des roses

Même si parfois vous avez des épines
Et que quelque fois cela nous chagrines
Mais quand nous serons enfin réunis
Nous espérons que ce sera pour la vie

Lorsque cela parfois ne dure qu’un soir
Ce n’est pas cela qui nous fait peur
Et nous ne perdons pas l’unique espoir
D’enfin trouver notre âme sœur

Et puis lorsqu’un heureux matin
Nous ne ferons désormais plus qu’un
Ton nouveau nom à partir de ce beau jour
Changera pour devenir celui d’amour

vendredi 6 mars 2009

Un rendez-vous immanquable

C’est aujourd’hui que tu viens me chercher
Je le savais, je t’attendais
Tu croyais pouvoir me surprendre
Mais tu vois, j’étais là à t’attendre

Tu me tends la main, en souriant
Je n’ais pas d’autre choix dorénavant
Je te regarde dans les yeux
Ils sont rouge, couleur de feu

Tu me dis qu’il est temps de partir
Je te rends ton sourire
Tu m’enlaces tendrement
Je suis en paix maintenant

Nous partons tous les deux
Peut-être en direction des cieux
A moins que tu ne sois l’émissaire
Du gardien des enfers

Mais ce que je sais maintenant
Et cela pour la nuit des temps
J’avais peur de toi et j’avais tort
Toi que l’on nomme la mort

jeudi 5 mars 2009

L'inconnue

Ma main brûlante sur ton visage
Évapore tes larmes d’un simple passage
Alors monte en toi avec croissance
L’explosion d’un reflux de jouissance

Puis quand tu la sens glisser
Le long de ta peau salée
Alors ma main puissante
Devient soudain caressante

Ensuite descendant le long de ton ventre
Tu sais qu’elle se dirige vers ton antre
Lorsqu’elle y arrive, tu crois mourir
Alors seulement tu découvres le plaisir

Puis une fois que tu as connu l’extase
Tu me quittes sans dire une phrase
Même ton nom, jamais je ne le su
Tu ne restas pour moi qu’une belle inconnue

mercredi 4 mars 2009

Adieu mon amie

Salut a toi qui es partie

Tu me laisses seul maintenant

Tu étais la dernière de mes amies

Je vais devoir faire avec dorénavant

Nous étions cinq, unis comme les doigts de la main

Mais le temps est passé très vite

Et je vois que demain

Je serais le dernier de la liste

Annie tu fus la première à nous quitter

Tout ça par la faute d'un gars bourré

Puis ce fut Michèle qui m'était la plus chère

Mais il l'a eut, ce salaud de cancer

Ensuite ce fut Marc, il l'a suivie très vite

Il conduisait beaucoup trop vite

Et maintenant toi, Johanna

Et j'en suis resté pantois

Sur l'échiquier de la vie

Tu as perdu cette partie

Destination finale

Tu avais décidé de ne plus vivre comme ça
Tu avais décidé de partir quand tu le déciderais
Tu avais décidé de n’en parler à personne
Tu avais décidé que ce serait un dimanche

Lorsque l’on t’a retrouvé tu l’avais fait
Lorsqu’on t’a retrouvé tu étais en paix
Lorsqu’on t’a retrouvé tu souriais
Lorsqu’on t’a retrouvé on te savait enfin heureuse

Pour nous le monde a basculé
Pour nous tout à changé
Pour nous rien n’est arrivé
Pour nous tu seras toujours là

Ou que tu sois, sois heureuse
Ou que tu sois, vis enfin en paix
Ou que tu sois, tu l’as gagné
Ou que tu sois, tu resteras toujours dans nos cœurs