Un grand de ce monde est venu à Strasbourg
Pas pour longtemps car il était à la bourre
Tout le monde attendait son fameux Yes we can
Mais pour réponse, il n’a lancé que quelques vannes
Mais ce qui est sur, c’est qu’il fut vraiment étonné
Par l’accueil que lui avaient réservé les Français
D’abord à l’aéroport, un tapis d’un rouge ardent
Mais pour son arrivée, Nicolas était absent
Lorsqu’il arriva dans la foule qui l’attendait avec passion
Beaucoup de femmes voulaient pouvoir l’embrasser
Lorsqu’il vit cela, il eut d’abord une hésitation
Puis il accepta de s’approcher, un peu embarrassé
Il était loin des manifestants qui voulaient le huer
Mais ils furent écartés sans beaucoup de ménagement
Il faut comprendre ces mesures des autorités
Il suffirait d’un illuminé pour que ça finisse tragiquement.
Il affirma que rien ne pouvait ce faire sans l’Europe unie
Mais rappelle que rien ne se ferait sans l’Amérique
Après discours et réunion, ils sont tous repartis
Alors tout est fini plus de risque, plus de panique
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C'est la première ode à Obama que je vois sur le web. Intérressant.
RépondreSupprimerJe ne sais pas si c'est la première mais je peux dire en tout cas qu'elle est très réussit. J'adore ! :)
RépondreSupprimerJuste une titite faute dans le premier vers de la dernière strophe (se faire).
D'habitude je suis nul en orthographe alors j'aime bien relever celle que je remarque :)