La fin de monde est peut-être à nos portes
Nous ne pouvons qu’attendre la notre
Être éliminé par un virus inconnu mortel
N’a apparemment pas son pareil
Est-ce une création de la nature ou de l’homme
Jamais nous ne saurons la vérité en somme
Nous ne pouvons que subir ces mortels assauts
En priant pour que ce ne soit pas trop tôt
Une si grande peur d’une si petite bestiole
Et voilà maintenant notre vie qui s’étiole
Nous pouvons contrer cette hécatombe
C’est entre les mains des grands de ce monde
Eux qui n’ont rien à craindre de ce terrible fléau
Car ils ont déjà pris de quoi sauver leur peau
Et s’il en reste un peu après l’avoir donné aux prioritaires
Demain, nous ne serons peut-être pas six pieds sous terre
mardi 28 avril 2009
vendredi 24 avril 2009
Mon destin
Quand tu m’as prise dans tes bras
Un vent violent m’a glacé d’effroi
Tu m’as emporté vers mon destin
Celui qui attend chaque être humain
J’ai vu ceux que j’aimais et des amis
Mais aussi, mes pires ennemis
Tu m’as dit de ne pas m’inquiéter
Je ne les verrais pas là ou je devrais aller
J’ai accompagné des membres de ma famille
Vers une lumière qui me rendait docile
Un dernier coup d’œil derrière moi
Ce que je vis me fit rester pantois
Mes ennemis étaient escortés, enchaînés
Leurs geôliers, les fouettaient, les flagellaient
Ils descendaient dans les profondeurs des enfers
Alors que moi, j’étais invité à la droite du saint père
Il m’a dit qu’il était encore trop tôt pour moi
Pour pouvoir rester là et m’expliqua pourquoi
Je devrais attendre mon jour au purgatoire
C’est ce que je ferais sans perdre espoir
Jamais je ne te revis, toi, qui m’avais souri
Tu avais fait ton travail et tu n’avais pas tort
Car maintenant c’est moi qui te souri
Toi que l’on redoute et qu’on nomme la mort
Un vent violent m’a glacé d’effroi
Tu m’as emporté vers mon destin
Celui qui attend chaque être humain
J’ai vu ceux que j’aimais et des amis
Mais aussi, mes pires ennemis
Tu m’as dit de ne pas m’inquiéter
Je ne les verrais pas là ou je devrais aller
J’ai accompagné des membres de ma famille
Vers une lumière qui me rendait docile
Un dernier coup d’œil derrière moi
Ce que je vis me fit rester pantois
Mes ennemis étaient escortés, enchaînés
Leurs geôliers, les fouettaient, les flagellaient
Ils descendaient dans les profondeurs des enfers
Alors que moi, j’étais invité à la droite du saint père
Il m’a dit qu’il était encore trop tôt pour moi
Pour pouvoir rester là et m’expliqua pourquoi
Je devrais attendre mon jour au purgatoire
C’est ce que je ferais sans perdre espoir
Jamais je ne te revis, toi, qui m’avais souri
Tu avais fait ton travail et tu n’avais pas tort
Car maintenant c’est moi qui te souri
Toi que l’on redoute et qu’on nomme la mort
lundi 20 avril 2009
La fin
Fini est le temps ou l’on vivait sans soucis
Des soucis qui augmentent tous les jours
Les jours qui nous paraissent de plus en plus long
Long comme les nuits d’hiver ou le froid mord
Mord dans la chair des oubliés de la société
La société qui se moque des Français pauvres
Pauvres de nous, simples mortels sans ressources
Ressources que possèdent les puissants de ce monde
Ce monde qui se détruit par lui-même sans espoir
Espoir que les gens perdent a fait que croit la misère
La misère qui nous attende à chaque coin de rue
La rue ou les gens meurent sans qu’on leur offre un regard
Un regard sur lequel nos politiciens ferment les yeux
Les yeux, la seule chose qu’il nous reste pour pleurer
Pleurer sur le fait que maintenant tout est fini
Des soucis qui augmentent tous les jours
Les jours qui nous paraissent de plus en plus long
Long comme les nuits d’hiver ou le froid mord
Mord dans la chair des oubliés de la société
La société qui se moque des Français pauvres
Pauvres de nous, simples mortels sans ressources
Ressources que possèdent les puissants de ce monde
Ce monde qui se détruit par lui-même sans espoir
Espoir que les gens perdent a fait que croit la misère
La misère qui nous attende à chaque coin de rue
La rue ou les gens meurent sans qu’on leur offre un regard
Un regard sur lequel nos politiciens ferment les yeux
Les yeux, la seule chose qu’il nous reste pour pleurer
Pleurer sur le fait que maintenant tout est fini
samedi 18 avril 2009
Liberté, Egalité, Fraternité
Liberté pour les innocents condamnés
Égalité pour les exclus et les oubliés
Fraternité pour les libérateurs tués
Liberté pour les hommes indécis
Égalité pour les peuples soumis
Fraternité pour les pays amis
Liberté pour les peuples opprimés
Égalité pour la peine des meurtriers
Fraternité pour les chômeurs jugés
Liberté pour les gens incompris
Égalité pour les moines meurtris
Fraternité pour ceux que j’oublie
Égalité pour les exclus et les oubliés
Fraternité pour les libérateurs tués
Liberté pour les hommes indécis
Égalité pour les peuples soumis
Fraternité pour les pays amis
Liberté pour les peuples opprimés
Égalité pour la peine des meurtriers
Fraternité pour les chômeurs jugés
Liberté pour les gens incompris
Égalité pour les moines meurtris
Fraternité pour ceux que j’oublie
mercredi 15 avril 2009
Hommage à Maurice Druon
En souvenir de cet immortel, les paroles du Chant des Partisans.
Ami, entends-tu
Le vol noir des corbeaux
Sur nos plaines?
Ami, entends-tu
Les cris sourds du pays
Qu'on enchaîne?
Ohé! partisans,
Ouvriers et paysans,
C'est l'alarme!
Ce soir l'ennemi
Connaîtra le prix du sang
Et des larmes!
Montez de la mine,
Descendez des collines,
Camarades!
Sortez de la paille
Les fusils, la mitraille,
Les grenades...
Ohé! les tueurs,
A la balle et au couteau,
Tuez vite!
Ohé! saboteur,
Attention à ton fardeau:
Dynamite!
C'est nous qui brisons
Les barreaux des prisons
Pour nos frères,
La haine à nos trousses
Et la faim qui nous pousse,
La misère...
Il y a des pays
Ou les gens au creux de lits
Font des rêves;
Ici, nous, vois-tu,
Nous on marche et nous on tue,
Nous on crève.
Ici chacun sait
Ce qu'il veut, ce qu'il fait
Quand il passe...
Ami, si tu tombes
Un ami sort de l'ombre
A ta place.
Demain du sang noir
Séchera au grand soleil
Sur les routes.
Sifflez, compagnons,
Dans la nuit la Liberté
Nous écoute...
lundi 13 avril 2009
Je pense
Je pense parfois ou tu m’emmèneras
Je pense parfois ou tout cela finira
Je pense parfois ou tout recommenceras
Je pense parfois ou tout cela me mènera
Je pense toujours au moment de partir
Je pense toujours à la façon de mourir
Je pense toujours à la mort des martyrs
Je pense toujours comment cela va finir
Je ne pense jamais ou je finirais
Je ne pense jamais quand je partirai
Je ne pense jamais comment y aller
Je ne pense jamais quand j’y serais
Je pense maintenant que je n’avais pas tort
Je pense maintenant que je ne suis pas le plus fort
Je pense maintenant que tu deviendras mon mentor
Je pense maintenant à toi … la mort
Je pense parfois ou tout cela finira
Je pense parfois ou tout recommenceras
Je pense parfois ou tout cela me mènera
Je pense toujours au moment de partir
Je pense toujours à la façon de mourir
Je pense toujours à la mort des martyrs
Je pense toujours comment cela va finir
Je ne pense jamais ou je finirais
Je ne pense jamais quand je partirai
Je ne pense jamais comment y aller
Je ne pense jamais quand j’y serais
Je pense maintenant que je n’avais pas tort
Je pense maintenant que je ne suis pas le plus fort
Je pense maintenant que tu deviendras mon mentor
Je pense maintenant à toi … la mort
samedi 4 avril 2009
Obama était là
Un grand de ce monde est venu à Strasbourg
Pas pour longtemps car il était à la bourre
Tout le monde attendait son fameux Yes we can
Mais pour réponse, il n’a lancé que quelques vannes
Mais ce qui est sur, c’est qu’il fut vraiment étonné
Par l’accueil que lui avaient réservé les Français
D’abord à l’aéroport, un tapis d’un rouge ardent
Mais pour son arrivée, Nicolas était absent
Lorsqu’il arriva dans la foule qui l’attendait avec passion
Beaucoup de femmes voulaient pouvoir l’embrasser
Lorsqu’il vit cela, il eut d’abord une hésitation
Puis il accepta de s’approcher, un peu embarrassé
Il était loin des manifestants qui voulaient le huer
Mais ils furent écartés sans beaucoup de ménagement
Il faut comprendre ces mesures des autorités
Il suffirait d’un illuminé pour que ça finisse tragiquement.
Il affirma que rien ne pouvait ce faire sans l’Europe unie
Mais rappelle que rien ne se ferait sans l’Amérique
Après discours et réunion, ils sont tous repartis
Alors tout est fini plus de risque, plus de panique
Pas pour longtemps car il était à la bourre
Tout le monde attendait son fameux Yes we can
Mais pour réponse, il n’a lancé que quelques vannes
Mais ce qui est sur, c’est qu’il fut vraiment étonné
Par l’accueil que lui avaient réservé les Français
D’abord à l’aéroport, un tapis d’un rouge ardent
Mais pour son arrivée, Nicolas était absent
Lorsqu’il arriva dans la foule qui l’attendait avec passion
Beaucoup de femmes voulaient pouvoir l’embrasser
Lorsqu’il vit cela, il eut d’abord une hésitation
Puis il accepta de s’approcher, un peu embarrassé
Il était loin des manifestants qui voulaient le huer
Mais ils furent écartés sans beaucoup de ménagement
Il faut comprendre ces mesures des autorités
Il suffirait d’un illuminé pour que ça finisse tragiquement.
Il affirma que rien ne pouvait ce faire sans l’Europe unie
Mais rappelle que rien ne se ferait sans l’Amérique
Après discours et réunion, ils sont tous repartis
Alors tout est fini plus de risque, plus de panique
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