On ne dit qu’on ne peut rien faire contre la misère
Une misère qui grandit de plus en plus vite
Vite, tel est le mot qu’il est important de connaître
De connaître qu’une famine décime des milliers d’être humains
Humains, c’est ce qu’ils sont, mais sont traités comme des bêtes
Des bêtes qui meurent aussi de la faim et de la sécheresse
Une sécheresse qui devient mondial et qui inquiète nos chercheurs
Les chercheurs, à qui l’on coupe les moyens de faire leur travail
Leur travail qui est essentiel et qui est notre seul salut
Un salut en passant à nos politiciens qui se moquent de nous
Nous qui sommes les électeurs qui élisent ces incompétents
Des incompétents qui se sentent proche des citoyens
Des citoyens vite oubliés dès qu’ils deviennent inutiles
Inutiles, tel est le mot aujourd’hui pour l’espoir
L’espoir de ne plus voir des peuples affamés et mourant
Mourant, telle est le destin de notre civilisation
Notre civilisation qui laisse dépérir des êtres vivants
Des êtres vivants qui se trouvent également en France
La France, pays de l’égalité, de la Fraternité et de la liberté
La liberté de s’exprimer par tous les moyens possibles
Possible que cela ne dure plus longtemps maintenant
Maintenant que les droits sont bafoués et ignorer
Ignorer que le peuple gronde, telle est leur faute
Faute de pouvoir parler, se dresseront les armes
Les armes qui s’énervent et qui crachent leurs paroles
Leurs paroles de mort, qui entraîne la misère
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Tes mots reflètent la vérité mais ton âme me semble bien torturée. Ton pseudo est, je pense, bien choisi.
RépondreSupprimerÉtincelle
Triste réalité mais quel beau travail d'écriture.
RépondreSupprimerBravo pour l'exercice de style et la justesse des propos.
lotus